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LE "MAL" A L'OEUVRE AU SOMMET DE L'EGLISE PRESBYTERIENNE CAMEROUNAISE

Pour introduire : L’EPC traverse une crise

 

Notre Eglise traverse une crise double : une crise constitutionnelle et une crise de l’observance de sa tradition.  Face à cette double crise, l’urgence de sonner l’alarme et déclencher l’intervention des secours est la responsabilité de tout fils ou fille de l’EPC.

Au temps de la Réforme, la vitesse de la propagation des abus dans l’Eglise a été le catalyseur d’une littérature de résistance et le révélateur d’hommes et de femmes de courage qui existaient dans l’Eglise. C’étaient des chrétiens ordinaires, qui participaient à la vie de leurs communautés, et qui n’auraient certainement pas changé pour poser des actes extraordinaires, s’il n’y avait pas eu des dérives ignobles dans l’Eglise. Beaucoup se sont levé pour contester les abus et les dérives pour que l’Eglise puisse faire une pause pour s’examiner et se corriger. Plusieurs ont perdu la vie dans ce combat mais, leurs actes et leur dévouement ont contribué au succès de la Réforme et au redressement de l’Eglise.

 

Aujourd’hui, garder le silence face aux irrégularités qui font cours dans notre Eglise, c’est se faire complice de tous les actes qui l’entraînent vers une chute dont elle aura du mal à se relever pendant très longtemps. Il est impensable, que par peur des représailles et des sanctions punitives, les pasteurs de l’EPC se taisent, que les juridictions gardent un silence de couardise, pendant qu’un noyau d’individus met l’Eglise en « gestion privée » et leur volent le droit de s’exprimer librement sur un problème qui les concerne directement : l’amendement ou la Réforme de la Constitution. Depuis la 60e Assemblée Générale (nos Assemblées n’ont pas de précédent du genre !), un phénomène de brutalité répressive, et de réduction au silence par l’humiliation s’est développé au travers des « Commissions juridiques spéciales » par lesquelles on terrorise les pasteurs en pleine assemblée, et des Commissions » par lesquels et on maintient la pression sur eux en cours d’année !

 

Face à cette situation, l’honneur d’un pasteur théologien engagé, sa vie, ses intentions, devrait être de se conformer aux paroles remontant à la source pré évangélique par lesquelles Jésus encourage ses disciples de ne pas craindre les hommes, mais de s’en remettre à Dieu seul.

 

Fort de cette conviction, comment pourrai-je encore dans mon Eglise, EPC, après plus d’un quart de siècle de ministère, céder à la peur et ne pas proclamer la vérité, une fois que je l’ai clairement reconnue ?

 

Il est désormais plus qu’impératif de le dire haut et fort : LA CONSTITUTION DE L’EPC A BESOIN D’AMENDEMENTS, et l’EGLISE ELLE-MEME DE S’ADAPTER A L’EPOQUE QUE NOUS VIVONS. Mais, la machine de sa révision oblique, en cours (Réforme par la force et la contrainte et non par le droit) est inacceptable.

 

  1. LE « MAL »

 

Les 63e et 64e « Assemblées Générales » : des assises illégales et anti constitutionnelles

 

La matérialité de cette affirmation trouve ses preuves dans les faits suivants : 

Lire l'intégralité dans les     LES CARNETS DE LA CONSTITUTION DE L'EPC

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