QUI PRESIDERA LES TRAVAUX
DE LA 53e ASSEMBLEE
GENERALE?
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a décision de la 52e Assemblée Générale de l’EPC qui donne pouvoir à son Modérateur, de conduire les travaux de la 53e Assemblée Générale jusqu’à l’élection à la fin des travaux, de son successeur, rencontre depuis la fin de ladite Assemblée, un rejet quasi global au sein des juridictions de notre Eglise. Lors de son entretien avec la Rédaction de « La Colombe », le 52e Modérateur de l’AG-EPC, interpellé à ce sujet, a simplement répondu : « La décision de l’AG reste une décision de l’AG » (La Colombe N° 01/07/09 pp 6-7). Loin d’apaiser les tensions et les passions, cette réponse et la décision elle-même semblent cristalliser davantage contre elles, la position de rejet radical de ceux qui clament au « hold up » contre la Constitution de l’EPC, sans pour autant soutenir leurs points de vue par des références précises. Qui à raison ? Qui a tort ? Cette décision va – t- elle à l’encontre de la Constitution de l’EPC ? Est- elle en phase avec cette dernière ? Les lignes suivantes veulent apporter un éclairage sur toutes ces questions.