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Blog - Page 7

  • L'EPC CHANGE SON LOGICIEL DE TEMOIGNAGE A LYON

    LA BONNE NOUVELLE DU JUMELAGE DE DEUX PAROISSES ISSUES

     

     DE DEUX CONSISTOIRES DU SYNODE BASSA :

     

     

     

    LES PAROISSES SANGLA (CONSISTOIRE ESEKA) ET GWEHA (CONSISTOIRE SANAGA) A LYON

     

     

     

    Dans le cadre du rassemblement et de la réconciliation des fils et filles de l’EPC en France en général et à Lyon en particulier, les Conseils Paroissiaux des Paroisses  Sangla Lyon et Gwéha Lyon ont d’un commun accord, pris l’importante décision, de jumeler les deux paroisses pour rendre le témoignage évangélique plus digne et plus consistant dans les seuls locaux de l’Eglise Réformée de la Guillotière sis 50 rue Bancel.

     

     

     

    Les Pasteurs Jacques René TJOMP (Consistoire Eséka) et  LISSUK II André Joseph (Consistoire Sanaga), ont décidé de franchir la barrière des délimitations juridiques qui laissent aux seuls Consistoires de l'EPC, un pouvoir de gestion sans partage de leurs pasteurs et de leurs paroisses.

     

     

     

     

    Les deux pasteurs considèrent que rien n'interdit pour des paroisses dont les membres appartiennent à une même entité linguistique (Bassa en l'occurence) de s'associer en un seul lieu pour une adoration commune. Les détails d'intendance, concernant les obligations de chaque paroisse vis - à - vis de son Consistoire, ont trouvé des solutions pratiques en interne.
    Depuis le 20 février 2010, date de la signature de convention entre les Conseils des deux paroisses, un climat de joie traverse les membres EPC de l'ethnie Bassa à Lyon et dans ses environs. Un culte d'accueil est prévu pour le 14 mars 2010 à 14h dans le Temple de l'Eglise Réformée de Lyon, Paroisse de la Guillotière, sise 50 rue Bancel.

     

      

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     Le Pasteur LISSUK II André Joseph

     

     

     

  • REMERCIEMENTS

    Durant des mois (7 au total), j'ai été soutenu, conseillé, encadré par plusieurs personnes dans le cadre de ma campagne pour l'élection au poste de Modérateur de la 53 Assemblée Générale de l'EPC. Voici les résultats de cette consultation:

    Inscrits: 658

    Votants: 652

    Suffrages valablement exprimés par candidat:

    • Pasteur LIBOM Li LIKENG Jean: Consistoire Makak, Synode Bassa: 353 voix
    • Pasteur TJOMP Jacques René: Consistoire Eséka, Synode Bassa:202 voix
    • Pasteur BITJOCKA Jean Pierre: Consistoire Eséka; Synode Bassa:93 voix

    Le Pasteur LIBOM Li LIKENG, conformément à nos usages, a  été proclamé vainqueur .

    A tous ceux qui m'ont soutenu, qui ont cru en mon rêve, je dis qu'une page s'est ouverte. Presque 1/3 de l'Eglise a approuvé mon projet et a décidé me suivre, en dépit des "facteurs d'un autre ordre" qui ont entouré ladite consultation.

    Merci.

    A tous mes soutiens dont je suis le débiteur perpétuel, je dis: Ce n'est que partie remise.

    A bientôt!

  • 53e AG EPC: ECHOS DE LA PRESSE

     

    Eséka : préparatifs de la 53e assemblée générale de l’EPC

    Eséka (Nyong et Kellé) Plus que quelques jours et les projecteurs seront braqués sur la ville historique d’Eséka qui accueillera alors du 13 au 17 janvier 2010 les assises de la 53e assemblée générale de l’Eglise presbytérienne camerounaise (EPC), la deuxième du genre dans cette localité.

    Sont attendus à cette rencontre de la plus grande instance décisionnelle de cette obédience religieuse, plus de 500 pasteurs et autres délégués venant des quatre coins du triangle national et de la diaspora, ainsi que des centaines d’invités..... ......

    (Lire la suite dans Cameroun Tribune)

  • MON PROJET

    JE SUIS CANDIDAT POUR APPORTER UN CHANGEMENT CREDIBLE A L'EPC

     L’Eglise Presbytérienne Camerounaise, notre Eglise est une grande Eglise. Elle n'est pas seulement grande par son histoire, elle est aussi grande par les capacités de ses enfants. Les fils et filles de l'EPC ont montré hier, qu'ils savaient réussir dans ce qu’ils veulent faire. Malgré leurs différences culturelles et des appétits malsains qui s’affirment, les enfants de l’EPC ont toujours eu l’intelligence de se souder autour d’une culture presbytérienne qui a construit et forgé leur repère de vie.

     

     Je veux que l’EPC change  sa façon de lire et d’exploiter sa Constitution.  Nous devons cesser de lire et d’exploiter notre Constitution en fonction de nos besoins privés et  de demander sa révision lorsque nous sommes insatisfaits! Moi, je suis pour le maintien de la Constitution actuelle, car, j’ai la conviction que  si un Pasteur, ou un ancien d’Eglise ne se sent pas en harmonie avec cette  règle de droit de l’EPC,  rien ne l’oblige de demeurer membre de notre Eglise. Si l’on a choisit l’EPC comme Eglise pour accomplir sa vocation, on doit l’accepter avec sa Constitution et  respecter cette dernière.  On ne peut se limiter à exiger de la Constitution de notre Eglise qu’elle nous donne chaque jour, de nouveaux droits, quand nous sommes incapables d’y discerner nos devoirs qui y sont consignés, et encore moins lorsque nous sommes incapables de les accomplir !

    Or ce n’est qu’en respectant notre Constitution que nous pouvons y apporter les amendements qui rendront notre Eglise crédible ! Car, le Pouvoir Constituant Dérivé de notre Constitution, notamment l’article relatif à « l’Ouverture » ne doit pas seulement être perçu comme un obstacle au changement. Mais il doit aussi et avant tout être perçu comme un garant de la stabilité et de la protection de la démocratie presbytérienne dans notre Eglise, une sauvegarde contre toute dérive du pouvoir représentatif...

     Je veux que l’EPC change dans le domaine de la confiance et celui du respect des compétences.  Notre Eglise regorge de tant de personnes compétentes qui n'ont jamais pu apporter leur pierre à la construction de notre édifice missionnaire parce qu'on ne leur fait pas confiance, parce qu'on ne veut même pas savoir qu'elles existent. Si vous me faîtes confiance, nous rechercherons ces compétences pour qu'elles puissent enfin profiter à notre Eglise.

     Je veux que l’EPC change pour être une Eglise plus juste. Dans une Eglise juste, les distinctions entre les pasteurs, anciens de l’Eglise, diacres, etc, ne doivent pas tenir sur des critères sociologiques ou géographiques, des critères de naissance ou d'études : c'est le travail fourni qui doit être le critère de la réussite. « Récolter où l’on n’a pas semé » parce qu’on sait jouer avec l’appareil institutionnel doit cesser d’être la règle dans notre Eglise !

    Je veux que l’EPC change et redevienne une Eglise solidaire de ceux qui souffrent. Il peut arriver à chacun d'entre nous d'être, à un moment ou un autre, dans une situation difficile. La solidarité chrétienne doit continuer à jouer pour que la mauvaise passe que l’un de nous traverse ne devienne pour lui, la cause d’un rejet qui l’isolera de l’ensemble et pendant longtemps. Ceux qui ont commis des erreurs par le passé, et ceux qui connaissent des difficultés, et veulent sortir de ses situations,  doivent pouvoir compter sur l'entier soutien de l’Eglise. Ceux qui ont travaillé et servi notre Eglise doivent pouvoir compter sur elle lorsque les forces et les moyens viennent à leur manquer !

      Je veux que l’EPC change et vive son époque. Dans un monde qui change sans cesse, où la science et la technologie évoluent d’heures en heures, l’EPC ne peut et ne doit pas vouloir rester immobile. Nous devons : 

    · adapter notre Eglise à l’évolution de la société et rendre plus crédible notre démocratie, en renforçant les contre-pouvoirs et en définissant clairement, les règles d’organisation des suffrages dans nos juridictions;

    · moderniser et assainir la gestion de nos œuvres de témoignages, et poser de nouvelles bases de leur gestion commune pour renforcer l’unité de l’Eglise,

    · redéfinir nos fondamentaux de la mission et de l’évangélisation.  L’Evangélisation fait figure de parente pauvre de notre Eglise. La pertinence de ce constat ne saurait être mise en doute parce que confortée par les rapports successifs du DEA lors de cette décennie (2000) de nos Assemblées Générales, et des suites réservées à ses multiples doléances.

    L’évanescence que connaît le texte de Romains 10 : 15, 17 dans son application par notre Eglise, semble n’avoir d’égal que l’orgueil qui habite différents acteurs de l’EPC qui se félicitent d’une « croissance » de notre Eglise, en s’appuyant sur la multiplication des juridictions par voie d’éclatements conflictuels.

    C’est ainsi que du triangle national à l’extérieur (au Gabon, en France, en Suisse…), l’Evangélisation est devenue pour certains acteurs dans notre Eglise, synonyme de « Balkanisation » et de « Business ». A telle enseigne que chaque action visant un résultat pour le bien de l’ensemble de l’Eglise, est combattue victorieusement par une minorité.  

    Personnellement, je ne pense pas que le conflit entre « frères dans la foi » soit un catalyseur pour l’Evangélisation. Je ne pense pas non plus qu’en matière missionnaire, l’immigration du personnel culte d’une Eglise comme la nôtre, devrait être abandonnée à l’extérieur, au bon vouloir de laïcs qui parfois et de plus en plus, révèlent des centres d’intérêts divergents de ceux de l’EPC.

    Une véritable innovation qui rendrait notre Eglise crédible, ce que je propose, serait que l’Assemblée Générale reconsidère favorablement et considérablement, le budget du DEA. Que ledit département organise au mois de Mai 2010, 3 méga concerts d’évangélisation minutieusement préparé. Enfin, que l’EPC tienne au mois d’avril 2010 à Paris, un Conseil Général Missionnaire.

    · promouvoir une nouvelle approche sociale de notre Eglise, par exemple, la création d’un orphelinat ou d’un centre d’accueil pour l’enfance

    · adapter notre fonctionnement au droit du travail local,

    · Rendre plus crédible, la formation théologique dispensée dans nos Instituts théologiques; rendre par exemple un module NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication) obligatoire avec des Sessions de formation organisées en relation avec des professionnels de la place...et ouvrir la responsabilité des chaires dans nos Instituts de Théologie à des compétences théologiques venues d’ailleurs (hors d’Afrique), bref s’ouvrir au monde, si nous voulons être reconnu parmi les meilleurs..

    · garantir l’avenir de la retraite du Pasteur; pour cela, étudier avec courage, la possibilité de taxer professionnellement les Pasteurs pour renforcer la préparation de leur retraite indépendamment de la CNPS,

    · rapprocher nos décisions des préoccupations et des réalités du peuple que Dieu nous donne. Il n'y a pas d'avenir à répéter les vieilles recettes qui ont toujours échoué, de faire par exemple la « Pastorale des décisions » après qu’elles aient été prises et déjà provoqué des dégâts dans l’Eglise... 

    · Protéger la documentation de l’Eglise en nous investissant littéralement dans sa numérisation!

     

    Je veux que l’EPC change pour être respectée partout. A l’heure où j’exprime ce ressenti, notre Eglise est déjà confrontée à des choix majeurs dans sa stratégie missionnaire internationale. Nous devrons rapidement, et dans le respect des fils et filles qui la composent,  reprendre le dossier de l’évangélisation en France. Nous devrons prendre en compte tout de suite, l'émergence de l’Eglise Presbytérienne Réformée du Cameroun (EPRC) en France et en Suisse. Nous devons agir maintenant ou alors,  nous préparer à moyen terme à un isolement sur le plan du partenariat ecclésiastique international.  L’EPC doit défendre ses intérêts avec fermeté partout. Maintenant !

     

  • MA DEMANDE D'INVESTITURE AUX SYNODES DE L'EPC

     

     

    Objet: Demande au Synode xxxx de m’investir  comme son candidat au poste de Modérateur de la 53e Assemblée Générale de l’EPC

     

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    Mes chers collègues Pasteurs,

    Chers anciens d’Eglise délégués au Synode xxxxxx,

     En janvier 2010, avec les autres Synodes de notre Eglise, vous élirez le 53e Modérateur de l’EPC.  Notre Eglise aspire au changement. Il reviendra  à ce Modérateur d’en offrir la perspective, mais surtout d’en présider l’élaboration du contenu. Ce rôle important,  pour lequel je sollicite la confiance de vos suffrages pour être le candidat du Synode xxxxxx, je voudrai l’assumer avec enthousiasme, dynamisme, détermination et foi en notre Seigneur Jésus-Christ. 

     Pratiquement 14 ans après ma prestation du Serment Pastoral, je ressens un appel spirituel profond pour servir autrement cette profession dont j’ai la passion.

     Autant que chacun de vous, et autant que chaque camerounais, j’applaudis devant les exploits de Samuel ETO’O Fils, qui réside à Milan en Italie, mais est le Capitaine de notre équipe nationale de football dont il défend les couleurs avec amour et passion, et dont il vient de conduire les troupes à la phase finale de la prochaine coupe du monde de football.

     Je veux dire par là, en toute honnêteté, que j’ai entendu la voix de  ceux qui demandent  « Comment va t-il diriger l’Eglise s’il est élu ? »  Mais, leur inquiétude est-elle vraiment sincère, chrétienne ? Ou simplement tributaire d’une stratégie électorale ?

     Parce que, je suis Pasteur de l’EPC, régulièrement inscrit au rôle au Consistoire Eséka qui m’a affecté en qualité de Modérateur à la Paroisse SANGLA – LYON en France. Depuis environ 8 ans, bien que vivant en France, je participe régulièrement aux travaux de nos juridictions, à mes frais. Des responsabilités m’y ont souvent été données, je les ai assumées. La question actuelle, jamais posée, ne doit pas être l’actualité dans notre Eglise. Elle ne doit pas occulter les changements attendus. Elle trahit simplement  le problème de nos pratiques.

     En effet, ce qui est mis en cause, c’est la qualité de nos pratiques et non la pertinence de nos principes. Nos pratiques, déloyales et anti fraternelles, ne respectent plus les principes du Presbytérianisme. C’est pourquoi les changements auxquels l’EPC aspire ne seront bénéfiques que s’ils se réalisent sans que soient entamées les valeurs qui font l’essence même de notre Presbytérianisme. Parmi les principaux défis à relever,

     

    · Rendre crédible notre Constitution sera le premier. Je voudrai en être le garant. Je voudrai être le candidat de la Constitution de l’EPC!

    · Développer une nouvelle stratégie missionnaire et d’évangélisation crédible sera le second défi. Il faudra à l’EPC une stratégie permettant de reprendre sa place au cœur de la société Camerounaise à travers une nouvelle approche de témoignage social, et de rouvrir notre Eglise au monde notamment en favorisant l’immigration du personnel culte, la recherche de nouveaux partenariats ecclésiastiques et des bourses pour nos étudiants, la recherche de financements pour nos Instituts de Théologie.

     

    J’ai effectué un travail ces dernières années sur notre Constitution, et proposé à la 52e Assemblée Générale, un document permettant d’aider à l’harmonisation de nos textes. J’ai acquis une bonne expérience de terrain du Protestantisme en France. J’ai l’humble conviction que mieux que celles de tout autre, mes aptitudes et ma position peuvent être plus un avantage pour notre Eglise, qu’un inconvénient.

     Me voici donc devant vous, Bible et Constitution en mains pour servir et conduire l’EPC de façon dynamique vers un changement crédible. J’entends mener cette action avec vous, pour notre Eglise. Nous sommes plus que jamais en charge de la défense des valeurs et de l’héritage que nous avons reçues de nos prédécesseurs. J’en ai personnellement conscience.

     

    C’est tout le sens de mon engagement.

     

  • L'EGLISE PRESBYTERIENNE CAMEROUNAISE EN FÊTE A PARIS

     

    Pasteur Jean Patrick NKOLO FANGA :

    Bienvenue à la Chapelle Antioche de Paris (EPC Messa 2) !!!!

     

    Hier, dimanche 22 novembre 2009 au Temple de l’ERF sis  11, rue Maurice Berteau, où une centaine de personnes se sont retrouvées, l’Eglise Presbytérienne Camerounaise a mis sa tenue de fête à l’occasion d’un culte d’action de grâce organisé par la Chapelle Antioche de Paris, rattachée à la Paroisse EPC Messa 2 de Yaoundé, culte au cours duquel le Pasteur Jean Patrick NKOLO FANGA a été accueilli par ladite Chapelle.

     

    Après la liturgie conduite par le Pasteur Jacques René TJOMP de la Paroisse SANGLA – LYON, Consistoire Eséka, les présentations du Conseil d’administration et par suite de l’historique de cette Chapelle par l’Ancien d’Eglise MBOG Charles, ponctués de chants des femmes, ont permis de cerner les motivations spirituelles qui ont conduit à la naissance de cette nouvelle communauté de l’EPC dans le paysage du Protestantisme Français. Il découle de cet historique que c’est une évaluation négative du chemin parcouru qui aura poussé plusieurs membres de cette communauté à repartir sur le chemin de la foi sur de nouveaux engagements et sur de nouvelles bases.

     

    Le degré d’émotion perceptible dans les souhaits de bienvenue de la Présidente du Conseil d’Administration, Mme MBOG, adressés au Pasteur Jean Patrick NKOLO FANGA , a permis de réaliser combien les attentes du troupeau du Seigneur se conjugue avec la présence d’un berger .

     

    Le Pasteur Frédéric Trautmann, ex Président du DEFAP, prédicateur du jour, à partir des textes de  I Corinthiens  12 v. 27 à 31  et  Nombres 11/24-30  Marc 6/6b-13,  s’est d’ailleurs appesanti sur 8 tâches, fonctions, ministères ou services que Paul énumère, et dont nous avons besoin dans chacune de nos églises. De la fonction d’apôtre, c’est-à-dire de « l’envoyé », au ministère du parler en langues, en passant par les fonctions de prophète, d’enseignant, d’assistant, des ministères de ceux qui font des miracles et de guérison, et enfin des fonctions de direction, l’orateur du jour a brillamment exposé en quoi consistaient ces 8 fonctions ou ministères énumérés par l’apôtre Paul et qu’il a demandé au Pasteur Jean Patrick NKOLO FANGA de ne pas oublier durant cette année d’activités paroissiales qui s’ouvre devant lui.  Pour résumer son message, il a rappelé que dans l’Eglise, l’essentiel est que le Christ reste la tête sinon chacun n’en fera qu’à sa tête ! 

     

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    Les trois Pasteurs (photo ci-contre) ont ensuite administré la Sainte Cène à tous ceux qui étaient disposés  à y prendre part, et le culte s’est achevé par une agape chaleureuse et fraternelle.